« En matière de gestion de patrimoine, abondance de biens ne nuit jamais », confirme dans un sourire Thibaut Cossenet, directeur de l’offre épargne et patrimoniale du groupe Le Conservateur. Quels que soient la configuration des marchés boursiers et le profil de la courbe de taux, il reste résolument convaincu des vertus du panachage des solutions pour « construire une stratégie patrimoniale reposant sur quatre dimensions indissociables : financière, fiscale, juridique et de prévoyance ».
Fondée à tout âge, cette logique se renforce à 50 ans ou plus, le senior ayant intérêt « à alimenter plusieurs enveloppes financières afin de capitaliser en franchise fiscale une épargne dont chacun profitera à son rythme le moment venu en combinant au mieux stock et flux de revenus », abonde Ségolène Roques, directrice de l’ingénierie patrimoniale au sein de la même maison mutualiste. Pour ce faire, quatre réflexes, aussi rodés soient-ils, s’imposent.